EVE THINK ABOUT ABSURD THINGS
Êtes-vous centré ? Avez-vous vu le sacré devant vous ?
EVE THINK ABOUT ABSURD THINGS n’a pas de chose à venir poser au-dessus d’elle comme si elle aidait à rendre sacré une grandeur d’un objet. Le tissu doré qui la compose n’est pas là pour recevoir l’objet. Non. Là ou le tissu s’est caché il y a des cordes et des filets, des poissons remplis d’images qui ne donneront rien du mérite d’inventivité aux opiacés. Ils sont ici, marchant de la pierre jusqu’au ciel, chaque objet apporte son fil de terre, ce fil qui vient créer la toison de Seth sans lequel Osiris ne saurait les saisons. Une explication ? Le pont se pose toujours entre deux bords de monde sans chercher à connaître totalement l’intervalle. Il va simplement de l’autre côté, car il sait qu’il serait inutile de sa part d’essayer d’encadrer tout les rivages, de couvrir tout le fleuve comme pour posséder toute partie. Le tissu, les photos, les objets, et le sol sur lequel le bois est posé font tous partie de la même image.
And about the golden tissue it’s always less on top to see more on inside.
Andy Warhol knows how to disappear, Eve knows how to bring mistery in the disappearing process
Dreamy land n’existe pas, il est un rêve, une errance sans encrage au réel, faisant de ce présent l’idée d’un rêve dans lequel l’apprentissage passe par de multiples formes et transformations. Le corps ne fais plus qu’un avec la vidéo. La vidéo est une archive de lumière n’étant que le principe de réflexion depuis le début de son existence, Dreamy land ne saisit rien. Il se laisse voyager dans le temps voyant les errances le modifier largement. Dreamy land est un rêve qui accepte les différents états du présent. La mort acceptée alors, voyage, se fait léger.
PATCHWORK OF TIME BEHIND THE BIRD
Une fois la libération du papier réalisée, désormais la série existe comme des fables cristallisées sous forme de cartes postales d’esprit. Se laissant porter par la folie créatrice et une véritable fontaine de symboles vivants. Donner à cette carte postale une partie de la multiplicité du vivant.
WHERE THE TURTLE PLAY IN A GARDEN
Un moment de passage du voyageur, une sentence de vie qui se joue de symboles, de rencontre entre différents humains, cette sentence se veut plus proche de la vie qui s’éclate, de vivre le sacrée dans les rencontre quotidiennes du vent et des gestuelles, de la nourriture à la déambulation tout le spectre filmique est flou, mouvant chaotique parfois plus léger dans le mouvement ou plus dense, toute cette déambulation visuel se fait sans modification de la focale l’esprit utilise toujours l’œil mais apprends à voir différemment à travers la transformation de l’œil en récit fablique.
Laisse le masque à la rivière
A deux pas d’un cigne, à deux pas dans l’eau, l’un se trouve mélangé à l’autre, peut-être que là-bas le masque se noiera, que l’être suivra le vent des changement et deviendra ce qu’il est déjà, ce rêve est une balade dans l’eau, quelques fragments d’ailleurs qui permette au rêve du présent de se mélanger à celui du cinéma. Two steps from a cine, two steps in the water, one is mixed with the other, perhaps the mask will drown over there. The being will follow the winds of change and become what he already is, this dream is a stroll in the water, a few fragments from elsewhere which allow the dream of the present to blend with the one of the cinema.
A six sur les collines, lévitation
Un travail d’augmentation d’un processus trouvant source dans un échange poéticoabsurde avec Tifaine Coignoux, nous avons par la suite chercher une forme pouvant correspondre à cette richesse textuelle, et qui donnerait dans un présent une création proche d’une performance dans le processus. Lors de la première étape, nous avons reprit tout les mails pour rassembler sur deux murs différents les textes, chacun de notre côté nous avons alors créer des nouveaux liens à l’intérieur de ce premier recueil de texte, créant un deuxième niveau textuel suivant des couleurs dans un ordre imprécis, par la suite nous avons récupérer des papiers de tailles différentes, nous les avons assembler pour former un format de 1m par 2m sur lequel nous sommes venu, comme deux humains indépendants, réécrire sur ce papier des nouveaux extraits de textes issus de la deuxième sélection, ces enrichissements ont permis par la suite de faire des scans morcelé qui encore une fois ont laissé une marque d’un nouveau passage de réinterprétation, par la suite nous avons récupérer le ficher, l’avons imprimer sur une bâche de 1m par 2m. Le projet évolua encore lors de l’impression d’une sphère en impression 3D de cette même bâche qui devient à mes yeux une relique d’écriture symbolique qui permet une réinterprétation du spectateur, Tifaine Coignoux vous parlera de ce travail commun sûrement avec une différence. L’une des idées de ce travail était aussi de montrer comment deux individus indépendants peuvent enrichir une pièce en apportant la totalité de l’être. Aujourd’hui, le projet peut encore évoluer et prendre une autre utilisation du langage en utilisant d’autres parties des textes écrit qui s’enrichisse constamment. De la même manière, le titre de l’œuvre n’est pas clairement défini et peut changer d’un moment à l’autre.
Un livre qui agit comme un conteur, changeant sa forme, contant les petites histoires de Dave Tamee, de ses pérégrinations ou de ses voyages, il apprends sans atteindre un état de fin, une continuité qui avance, un rythme qui existe hors du bon ou mauvais, qui passe comme les saisons. Le livre prend une nouvelle forme au tiers du livre laissant un humain livré de grandes interprétations sur ces écrits posé plus tôt. Et alors que la fièvre de la réinterprétation nous arrose, la dernière valse du livre se fait sur un recueil de dessin libre de sens. L’écrit est lisible sur : https://issuu.com/yeepyyyy/docs/avant_le_papillon…zioup/s/10428415 A book that acts like a storyteller, changing its form, telling the little stories of Dave Tamee, their wanderings or their travels, it learns without reaching an end state, a continuity that advances, a rhythm that exists outside the good or bad, which passes like the seasons. The book takes on a new form at a third of the book leaving a human delivered great interpretations on these writings posed earlier. And while the fever of reinterpretation waters us, the last waltz of the book is done on a collection of drawings free of meaning. The writing can be read on: https://issuu.com/yeepyyyy/docs/avant_le_papillon…zioup/s/10428415
No western without a horse
This performance was realized on the site of the old hopital just near the P9 residency, horses were there and living on the place. Every day i was coming to renew a link between us, after some while and a first chapter of this performance, the possibiliy show herself and the performance happens. This performance is part of the cycle of the traveler that begin this year. Behind the movement of the body, a space of dremas was build, a space able to let other creation take place. The horses where looking into me while i was trying to dialogue with the rock and the water. It was a way of honoring their existencies not as a animal that act as only a tool to move faster, but as a being that also act as a live of the place. It was summer and i was dreaming of mixing myself into the ground.
Break your mind est le premier pied poser dans le sable celui qui découvre la maniabilité du sable à se transformer en de multiples choses, la caméra est traité de la même manière, pouvoir tourner à l’infini et altérer la matière pour raconter une énigme.
Break your mind is the first feet on the beach, the discovery of the possibilities that offer this place, the camera is used the same way, being able to shoot in the infinite and modify the materia to tell a riddle.
A dog is bitting the moon down
Faire vivre un état d’esprit qui évolue avec la matière, le plexiglass se fond et renait de lui même, peut-être que le phenix est transparent ? Les 2 pièces en A0 et A3 suivent un rythme d’évolution, a chaque fois que la volonté de faire vivre un autre état apparaîtra, la plaque sera remoulé avec les couleurs actuelles pour donner une teinte au nouveau plexi. Make happens a encounter between the material and the spirit, the plexiglass can rebonr form himself, who knows maybe the phenix was transparent ? The two pieces in A0 and A3 follow a path of changement, each time that the willingness to change the state of the piece arise, the plexiglass will be remold with the actual color, giving to the new one a color shade into it.
Paolo est le corps, il a reçu un nom, il est une archéologie vivante créée à partir des ossements des chaises passées, brisées, rassemblées ensemble elles deviennent un pseudo-monument pour chercher à repenser l’assise, chercher à voir cette assise qui ne montre que l’existence du vivant, du «vide». Paolo est un assemblage d’idée qui devient le premier retour à la matière, son nom donnée par les chaises précédentes, il s’est lié avec lui pour avancer avec, car ce nom n’est qu’image. Paolo se lie à l’histoire du Bauhaus dans un rituel entre la matière et l’esprit qui se lie dans une même mouvance. Évoluant, la chaise ne sera jamais réparée, sa destruction qui se fera au fur et à mesure des trajets et des expositions restera marquée et non oubliée. Paolo fera face à sa propre mort et chaque humain qui verra Paolo pourra faire face à cette fébrilité du corps qui vit calmement cette danse par delà la destruction du corps. Acceptez la destruction au sein de soi-même.
Fujin est un rêve, une performance qui porte en elle l’envie de voir le vent souffler sur les terrains bruler, de faire revenir le vent là où les feuilles ont disparus. Que l’impermanence de l’humain qui se mélange avec l’esprit du vent soit comme la rivière qui revient après la sècheresse, une poésie qui tombe goutte par goutte. Fujin is a dream, a performance that carries within her the desire to see the wind blow over the scorching fields, to bring back the wind where the leaves have disappeared. May the impermanence of the human who mixes with the spirit of the wind be like the river which returns after the drought, a poetry which falls drop by drop.
Série picturale réalisé entre 2021 et 2022 une quantités de 71 dessins A6 et 10 dessins A3 sont regroupé sous le nom de cette série. Travaillant autour des figures humaines et de la relation à l’espace qu’iels peuvent développés, ces dessins sont aujourd’hui pour certains encadrés dans une voute de plâtre. Chacun d’eux est l’archivage d’une attitude de méditation sur l’image ressenti d’un moment, cette abstraction figurative s’essaye à la représentation des figures humaines en mélange avec un univers mouvant, d’en faire des êtres à mi-chemin entre humain et esprit. Les poses des personnages ont aussi servie d’étude à une chorégraphie ou à une représentation de la chorégraphie qui peut-être réalisé lors des performances du «Cycle des branchies».
Le cycle des Branchie est un axe de création qui entreprends de dresser un receuil de possible concernant la figure du voyageur. Cette démarche se mélange à des recherches écologiques, philosophique et plastique. Le processus de création mis en place commenca avec la performance «Le sang monte à la tête» réalisé en Janvier 2021 (voir dossier performance joint avec). Différents matériaux sont alors conviés pour réalisé des installation in-situ. Certains de ces matériaux sont des oeuvres sur tissu coton imprimé à l’encre végétale.
La relation à l’espace est pensé comme un biotope dans lequel chaque partie peut faire l’histoire reprenant la poésie filmique de Chris Marker dans le film Sans Soleil. Les mondes réalisés sur tissu emprunte l’appelation de «l’ukiyo-e» qui se traduit par «monde flottant» renvoyant à la notion d’impermanence de celui-ci, conjugant symboles et figure contemporaine. Le voyageur ramasse ses branchie est la première performances d’un cycle de performances qui se concentre autour de recherches sur la figure du voyageur et de sa mythologie. Le sang monte à la tête, première du cycle, a été réalisée lors d’une résidence avec le collectif Par-delà la Brume. Cette action utilisait le langage comme voyage et attribuait au vagabond l’errance du poète, la déclamation improvisée comme monde pour se mouvoir. La deuxième nommée le voyageur ramasse ses branchies renvoyait à la posture du marin comme explorateur, comme créateur de son propre navire animant sa voile avec son esprit. Elle a été réalisée lors de l’exposition L’eau est partie, nos pieds restent ici et contemplent et a servi de jonction narrative aux pièces présentes, créant ainsi des destructions et recompositions de la scénographie de cet espace. La performance suivante nommée No Western without a Horse se concentrait sur l’image du «Cow-Boy» qui est un personnage qui ne peut exister sans cheval, se jouant de l’interprétation romantique qui fut donnée à ce personnage et des mythes qui lui sont associés. Cette recherche se liait au livre Unbranded de Marine Lahaix sur le dressage animal et/ou psychologique. Le quatrième acte, Le bol à thé court toujours dans le présent, actionné pour le festival écoart Naori à Montigny, s’attelait à créer une ode aux céramiques encore tièdes et teintantes de leur cuisson dans un four Anagama. Cette performance avait pour but d’’honorer ce moment sacré qu’est le défournement comme si le four lui-même était l’espace d’un instant une grotte dans laquelle on plonge pour sortir des géodes. Ces performances mélangent des mouvements ainsi que des paroles pour créer une poésie avec l’espace vivant à ce moment. Un biotope sensible à l’écoute des diverses formes qui peuplent le lieu. Ce cycle de performances trouve source dans une méditation sur l’art du Théâtre Nô et de la danse Buto, tout en conciliant des recherches sur les possibles écologiques et durables.
Si la noyade t’enrobe au fond de l’océan, enfile les poissons et saute dans le courant. Là où l’océan englobe l’humain le faisant se perdre dans l’univers de soi, il y a des choses qui disparaissent de ses yeux. Dans le grand bleu, pour avancer abandonne toi aux poissons, il t’emmèneront dans le courant. De la même manière que les enfants ont besoin de bottes pour sauter dans l’eau, certains humains ont besoin de bottes métaphore pour se mouvoir à nouveau, humblement je les pose à leurs pieds, pour que le frottement des écailles et la sensation des marées leurs reviennent. Where the ocean embraces the human making him lose himself in the universe of himself, there are things that disappear from his eyes. In the deep blue, to move forward abandon yourself to the fish, they will take you into the current. In the same way that children need boots to jump into water, some humans need metaphor boots to move again, I humbly put them at their feet, so that the rubbing of scales and the feeling of the tides come back to them.
L’orage se couche comme l’émeraude
Voici certaines images qui recasse le rêve qui exista à la fin d’un été sous la pluie, et du début d’un automne sous le soleil, les assemblages de pièces sont multiples. Leurs rêves se mélangent comme une immense Forêt ou la vie n’attends personne mais bouge comme la coquille d’escargot. Les performeureuses sont des moines du respect en pleine conscience de leurs mouvements et se bougeant dans l’idée de laisser l’intuition guider calmement leurs pas. Dans cet espace les anciens êtres se pose pour rêvé avec les nouveaux remplis de nourriture qui déborde Here are some images that recast the dream that existed at the end of a summer in the rain, and the beginning of an autumn under the sun, the assemblies of parts are multiple. Their dreams blend together like a huge Forest where life waits for no one but moves like a snail shell. Performers are monks of respect in full awareness of their movements and moving with the idea of letting intuition calmly guide their steps. In this space the old beings arose for dreamed with the new ones filled with overflowing food
PATCHWORK OF TIME, BEFORE THE BIRD
Créer un état d’esprit se réunissant de patchwork d’idée mélangeant des symboles vivants, qu’importent les images utilisées, que l’image dans son présent devienne comme une fable en osmose avec le présent. Cette première série existe, avant que l’oiseau de l’esprit se soit libéré du papier.
A JUMP OF THE FISH BETWEEN THE LEAF
Un jeu de superposition, un œil qui zoom jusqu’à ce que tout le reste du vivant devienne mouvant et que le point fixe devienne le monument. Cependant très vite le regard se perd et dezoom à nouveau pour voir la totalité du vivant ou non pas un seul point, alors après un moment, il retourne à la recherche d’une idée. Ce jeu de superposition se situe dans une installation sonore où l’espace de projection se fait sur deux anoraks transparents acheté lors d’un voyage au Japon, ces anoraks nous ont servis comme bâche ils sont donc reliés l’un à l’autre pour créer un espace de projection, derrière lui se trouve une couverture de survie qui fût notre lit pendant une nuit en pleine forêt à l’autre bout du monde, à la rencontre de la multiplicité des vies. Le son quant à lui est une méditation auditive répétée.
Sur une place abandonné de tous, ou la flore reprends pouvoir et que les gravillons n’empechent plus les arbres de croitrent, j’ai réuni toutes les pièces de platres que j’ai pu réalisé au cours de l’année à Grenoble. Comme un autel de passage, sa destruction imminente par les populations qui peuple ce lieu (vent, humain, animaux, pluie) sont intégré au cycle d’évolution de cet espace. La ville de Grenoble est un lieu permettant dévoqué plusieurs grandes questions, en effet elle est au pieds des montagnes et souffre d’un air de mauvaise qualité. Nommé capitale verte européenne cette année, elle n’est pas pour autant une ville qui fait naître plus d’espace verts que d’autres villes. En effet bon nombre de territoires en friche sont transformé en zones d’urbanisations pour accueillir une population toujours plus grandissante. Rélaisé une exposition sur ces mêmes territoires abandonné par la ville permet de faire en sorte que dans l’entre deux de leurs temps d’existence un espace d’art puisse exister. La performance réalisé le jour du vernissage servait de lien entre l’histoire du voyageur et la rencontre du lieu tel qu’il existe depuis 1 an. Ce lien tissé entre l’être en tant que chercheur de soi et l’espace vivant comme une ruine en devenir se fait par les cordes d’escalades qui se délie, se lie aux arbres, aux pièces, au sol ou au performeur. L’histoire joué est celle d’un humain qui cherche à délié son être des noeuds involontaire et finalement ne garder que ceux essentiel à soi.
L’interaction avec les pièces de l’installation permet une construction-destruction amenant le renouveau, ou l’impermanence comme une des recherches.
MON PERE N’EST PAS MORT, JUSTE DETRUIT
Une petite entrevue, une rencontre qui prend 20 ans à naître et à voir, que ce soient les oiseaux qui passent dans ces yeux, un humain ici allongé dans ce lit comme si son existence en tant qu’esprit s’était tant attachée à la matière que le bruit du son de l’être le dérangeait. Voilà alors que l’esprit se livre ici à l’interprétation de l’être humain nommé père celui-ci même qui se retrouve rongé par ses propres choix qui devaient lui apporter liberté ou évolution. Mon Cher Père, je te remercie de m’avoir montré cela, à ton existence, ce portrait est l’interprétation de ce que je vois à travers toi rien de plus, adieu jugement, cette pièce aussi petite est celle que je me refusais à voir dans les détails de l’être.
Vidéo de 26 min emmenant le spectateur au sein d’un univers fictif crée par les projections 3D qu’un pc réalise sur des images de maisons, il va rencontré différentes espèces du monde vivant d’aujourd’hui qui vont venir lui parler ou le croiser, ainsi sa déambulation sera guider par un requin scie qui lui montrera cette espace virtuel dans lesquelles les espèces montrées à l’écran tend de se créer un espace de mémoire. En effet toutes les espèces montrées dans cette vidéo sont des espèces en voie de disparition. Ainsi la vidéo se sert des espaces d’habitations numériques pour leurs redonner un lieu d’existence, un lieu de rencontre dans ces habitats construit pour humains ne laissant que peu de place aux autres espèces.
L’architecture de la destruction
C’était entre les plaines, il y a avait un Centre nommé Frans Masereel, le travail qui s’y réalisa était de déconstruire toute chose, déconstruisons les idées de formats, les idées visuel, laissons le papier nous dire comment avancer. Après avoir dialogué avec les pierres celle-ci ne voulait pas imprimé de la manière voulu alors l’image reçu fut encore différente, les secondes couches portés par la -sérigraphie- se sont maintenu sur le cadre comme une goutte de javel sur un T-shirt, l’un gardera l’histoire de l’autre, puis alors que le dernier passage de la machine riso s’effectue celle-ci se casse les pattes se posant au sol incapable de reprendre le travail, alors écoutant le vent de destruction je me posa à coté de la machine et de ces papiers qui ont choisi dignement leurs manières d’agir. Pour arriver à quelques rendu, beaucoup de concepts ont été détruits et un peu d’eau et de patience se sont ajoutées. Alors le seul endroit capable d’accueillir ces formes était le mur qui contemple par la vitre les chevaux et les brumes qui parcourent ces plaines, ce même mur à moitié peint, mise au rebut, deviendra l’espace d’un instant l’ami des feuilles aux milles destructions.
Entre le creux et les roches, le son…
Entre le creux et les roches, le son de soi s’est caché en sourire. Alors que l’on tend l’oreille dans le coquillage pour entendre la mer, quelqu’un vient nous dire qu’elle n’est pas la dedans et que l’on entends juste un écho; L.e.a poète.sse répondit alors « Cet écho est ce que je cherche, je n’entendais plus le son du sang et de cette mer qui m’anime, de toute ces choses qui se mélange encore ». Ecouter le son du corps est une grâce, celle de voir la vie qui nous anime, à quel point notre mer intérieur est riche. 4 pièces existe à l’intérieur, chacune donne une intensité différente dans l’écoute du son. While we strain our ears in the shell to hear the sea, someone comes to tell us that it is not in it and that we just hear an echo; The poet then replied « This echo is what I am looking for, I no longer heard the sound of blood and this sea which animates me, of all these things which are still mixed ». Listening to the sound of the body is a grace, that of seeing the life that animates us, how rich our inner sea is. 4 pieces exist inside, each one gives a different intensity in the listening of the sound.
HIKOTO
pousse le performeur jusqu’à ses limites, jusqu’à saturation, jusqu’à ce que la rapidité de la musique l’empêche de suivre correctement
le parcours qu’il s’est fait. HIKOTO est un mélange de culture
japonaise, de kung-fu, de zen, de punk, se fondant tous dans
l’idée d’un rituel initiatique, d’un rituel chamanique dans le but
de rentrer en relation avec sa spiritualité intérieur.
Cette musique incessante, rapide, obsessionnelle et
répétitive vient remplir l’espace, bloquant toute pensée devenant
l’âme même du performeur, son rythme de vie, s’éteignant
avec lui, ajoutant une métaphore sur l’expérience de sa propre
mort et ainsi vint sa peur de la mort, accédant à ce nouveau
stade spirituel. Quittant la performance plus vivant qu’il n’y
est rentré.
L’animal apparaît au milieu…
A little hand, a little run, but this little place is as marvelous as the river, behind it his playing Osiris which die in the field, but get rebirth by the action of the animal into a new being, the seeds, the dog is the one who hold truth if you learn to talk to him you will drop the leash to run with him for a last laugh before that the body start rising.
Dans la marre aux crevasses …
L’installation est un état de rêve, une brèche pour celui qui n’écoute pas le son qui vient du squelette. Cette installation utilise la marre comme début, une source d’eau qui se créer lors des fortes pluies et qui par la suite aujourd’hui disparaît, laissant certaines espèces traversé tout un espace à la recherche de ce que la marre racontée. Transformant les spectateurs en messagers d’un espace poétique qui va se réduire au fur et à mesure ne laissant que la mousse verte, et si l’envie dévore leurs doigts peut-être iront-ils chercher les poèmes cachés dans les bottes, comme une occasion d’aller au plus profond des êtres présents. Le nom complet de celle-ci est » Dans la marre aux crevasses, noie tes pieds, pars écouter celui qui arrive vêtu de rouge et sous racines se mouvant » les pièces à l’intérieur de celle-ci se nomme « Si la noyade t’enrobe au milieu de l’océan, enfile les poissons et saute dans le courant », « Entre le creux et les roches, le son de soi s’est cacher en sourire.« , « Quelques temples pour les guêpes » The installation is a dream state, a breach for anyone who does not listen to the sound that comes from the skeleton. This installation uses the pond as the beginning, a source of water that is created during heavy rains and which subsequently disappears today, leaving certain species to cross a whole space in search of what the pond tells. Transforming the spectators into messengers of a poetic space that will gradually shrink, leaving only the green moss, and if the envy devours their fingers perhaps they will look for the poems hidden in the boots, like a opportunity to go to the depths of the beings present. The full name of this piece is « In the puddle of crevices, drown your feet, go and listen to the one who arrives dressed in red and under roots moving » the pieces inside it is called « If drowning envelops you in the middle of the ocean, put the fish on and jump in the current », « Between the hollow and the rocks, the sound of oneself s is hiding with a smile. », « A few temples for wasps »
BLOOD BLOW OUT OF THE LEAF
Le sang qui coule de l’esprit et des pensées, le montage ainsi que le rythme des vidéos se fait de manière vivante, changeante, utilisant les symboles visuels se mélangeant à des fragments d’existence. À la manière de Nobuhiko Obayashi dans le film House, raconter une histoire qui va essayer de venir briser l’esprit comme chaque koan Zen qui est récité. Chaque mouvement absurde raconte une transformation.
UNCERTAIN FIELD OF VIEWING
Ascension du village ou j’ai grandi pour aller saluer la vie, elle est le recueil d’une performance pour aller voir les rencontres, à l’intérieur et extérieur de soi, de voir la vie dans une multitude de rythmique.
Le son du voyage dans l’océan
Installation évolutive, en voila des bribes qui se racontent ici, il y a des personnes qui se sont lié a des envies, d’autres qui restent inconnues. Les pièces présentés sont une archive de l’étape de ces 2 mois d’exposition-résidence dans le château d’eau avec d’autres artistes tel que Tifaine Coignoux, Tatjana Komaroff, Thomas Thuaux, Wan Ting Fu et Anthony Croft. Les pièces racontent le début du voyage avec une performance, des arches ainsi que des papiers moines volant. Evolutionary installation, here are snippets that are told here, there are people who are linked to desires, others who remain unknown. The pieces presented are an archive of the stage of these 2 months of exhibition-residency in the water tower with other artists such as Tifaine Coignoux, Tatjana Komaroff, Thomas Thuaux, Wan Ting Fu and Anthony Croft. The pieces tell the story of the start of the journey with a performance, arches and flying monks’ papers. A bottle of water can whistle if you know how to use your breath into it, learning ways of discovering the dust.
EVOLUTION FLAG
Une série s’est réalisée d’une foulée de création lancée avec le premier. Chacun est un nouveau pas, à la manière d’un coureur chaque pas est une course d’apprentissage en elle-même à travers le prisme des transformations. Cette transformation spirituelle se réalise, une expression du présent mélangeant toutes les énergies du moment en une seule pièce vivante. Tout le langage imagé qui apparaît sur les drapeaux devient symbole, fragment de transformation de comment s’est méditée la matière. Cette série trouve la source dans un inconscient instinctif se poussant par-delà, cherchant à renverser la vision de certaines choses à l’intérieur de soi.
L’orage s’est arrêté, quelques pieds noyés, un vent a déposé les vivres du sans nom. – Alors que l’orage disparait, la pluie révèle les écoulement du terrain, des pieds apparaissent, des mots qui restait en suspend et qui finalement sorte comme poussières. L’installation est une suite de « l’orage se couche comme l’émeraude.. » L’ilot souvenir est devenu un bateau outil s’étant échoué dans l’espace terreux d’une rivière. On rentre par le miroir et ressort en le devenant. Certaines des pièces de l’installation se mélange au travail de Tifaine Coignoux racontant l’hybride, celui qui n’a plus un pied a chaque endroit. The storm stopped, a few feet drowned, a wind deposited the food of the nameless. – While the storm disappears, the rain reveals the flow of the ground, feet appear, words which remained in suspense and which finally come out like dust. The installation is a continuation of “the storm sets like an emerald.” The souvenir island has become a tool boat having run aground in the earthy space of a river. We enter through the mirror and come out becoming it. Some of the pieces in the installation mix with the work of Tifaine Coignoux telling the story of the hybrid, the one who no longer has a foot in each place.
Dans les eaux vertes qui se pullule de partout, une question se tiens qu’est ce qui est forêt ? Un espace de vie qui se rend multiple qui laisse vivre en lui de multiple choses ? Cette ouvrage est un hommage à celle-ci, à ces espaces de vie multiples qui si utilisé métaphoriquement montre des vues de diversité multiples en tant qu’écosystème ou de biotope. Chaque racine est une cime pour celui qui se met à voguer à l’intérieur. Cette édition est réalisé à l’aide des photos de Jordan Plantasia, Lucien Vasselle, Solène Charton, Sybille Raffort, Zéfyr Typhon, Viviane Ravier, Lou Froehlicher, Boris Grisot. 3 textes écrit par Zéfyr Typhon, Solène Charton et Boris Grisot sont aussi à l’intérieur. https://issuu.com/yeepyyyy/docs/la_foret_est_saluer_par_les_larmes_des_humains_en_ In the green waters that swarm everywhere, a question arises: what is forest? A living space that makes itself multiple which allows multiple things to live in it? This work is a tribute to this one, to these multiple living spaces which if used metaphorically show views of multiple diversity as an ecosystem or biotope. Each root is a summit for the one who sets sail within. This edition is made using the photos of Jordan Plantasia, Lucien Vasselle, Solène Charton, Sybille Raffort, Zéfyr Typhon, Viviane Ravier, Lou Froehlicher, Boris Grisot. 3 texts written by Zéfyr Typhon, Solène Charton and Boris Grisot are also inside.