Un jeu de superposition, un œil qui zoom jusqu’à ce que tout le reste du vivant devienne mouvant et que le point fixe devienne le monument. Cependant très vite le regard se perd et dezoom à nouveau pour voir la totalité du vivant ou non pas un seul point, alors après un moment, il retourne à la recherche d’une idée. Ce jeu de superposition se situe dans une installation sonore où l’espace de projection se fait sur deux anoraks transparents acheté lors d’un voyage au Japon, ces anoraks nous ont servis comme bâche ils sont donc reliés l’un à l’autre pour créer un espace de projection, derrière lui se trouve une couverture de survie qui fût notre lit pendant une nuit en pleine forêt à l’autre bout du monde, à la rencontre de la multiplicité des vies. Le son quant à lui est une méditation auditive répétée.