C’était entre les plaines, il y a avait un Centre nommé Frans Masereel, le travail qui s’y réalisa était de déconstruire toute chose, déconstruisons les idées de formats, les idées visuel, laissons le papier nous dire comment avancer. Après avoir dialogué avec les pierres celle-ci ne voulait pas imprimé de la manière voulu alors l’image reçu fut encore différente, les secondes couches portés par la -sérigraphie- se sont maintenu sur le cadre comme une goutte de javel sur un T-shirt, l’un gardera l’histoire de l’autre, puis alors que le dernier passage de la machine riso s’effectue celle-ci se casse les pattes se posant au sol incapable de reprendre le travail, alors écoutant le vent de destruction je me posa à coté de la machine et de ces papiers qui ont choisi dignement leurs manières d’agir. Pour arriver à quelques rendu, beaucoup de concepts ont été détruits et un peu d’eau et de patience se sont ajoutées. Alors le seul endroit capable d’accueillir ces formes était le mur qui contemple par la vitre les chevaux et les brumes qui parcourent ces plaines, ce même mur à moitié peint, mise au rebut, deviendra l’espace d’un instant l’ami des feuilles aux milles destructions.