L’orage s’est arrêté, quelques pieds noyés, un vent a déposé les vivres du sans nom. – Alors que l’orage disparait, la pluie révèle les écoulement du terrain, des pieds apparaissent, des mots qui restait en suspend et qui finalement sorte comme poussières. L’installation est une suite de « l’orage se couche comme l’émeraude.. » L’ilot souvenir est devenu un bateau outil s’étant échoué dans l’espace terreux d’une rivière. On rentre par le miroir et ressort en le devenant. Certaines des pièces de l’installation se mélange au travail de Tifaine Coignoux racontant l’hybride, celui qui n’a plus un pied a chaque endroit. The storm stopped, a few feet drowned, a wind deposited the food of the nameless. – While the storm disappears, the rain reveals the flow of the ground, feet appear, words which remained in suspense and which finally come out like dust. The installation is a continuation of “the storm sets like an emerald.” The souvenir island has become a tool boat having run aground in the earthy space of a river. We enter through the mirror and come out becoming it. Some of the pieces in the installation mix with the work of Tifaine Coignoux telling the story of the hybrid, the one who no longer has a foot in each place.