Le sang qui coule de l’esprit et des pensées, le montage ainsi que le rythme des vidéos se fait de manière vivante, changeante, utilisant les symboles visuels se mélangeant à des fragments d’existence. À la manière de Nobuhiko Obayashi dans le film House, raconter une histoire qui va essayer de venir briser l’esprit comme chaque koan Zen qui est récité. Chaque mouvement absurde raconte une transformation.