Sur une place abandonné de tous, ou la flore reprends pouvoir et que les gravillons n’empechent plus les arbres de croitrent, j’ai réuni toutes les pièces de platres que j’ai pu réalisé au cours de l’année à Grenoble. Comme un autel de passage, sa destruction imminente par les populations qui peuple ce lieu (vent, humain, animaux, pluie) sont intégré au cycle d’évolution de cet espace. La ville de Grenoble est un lieu permettant dévoqué plusieurs grandes questions, en effet elle est au pieds des montagnes et souffre d’un air de mauvaise qualité. Nommé capitale verte européenne cette année, elle n’est pas pour autant une ville qui fait naître plus d’espace verts que d’autres villes. En effet bon nombre de territoires en friche sont transformé en zones d’urbanisations pour accueillir une population toujours plus grandissante. Rélaisé une exposition sur ces mêmes territoires abandonné par la ville permet de faire en sorte que dans l’entre deux de leurs temps d’existence un espace d’art puisse exister. La performance réalisé le jour du vernissage servait de lien entre l’histoire du voyageur et la rencontre du lieu tel qu’il existe depuis 1 an. Ce lien tissé entre l’être en tant que chercheur de soi et l’espace vivant comme une ruine en devenir se fait par les cordes d’escalades qui se délie, se lie aux arbres, aux pièces, au sol ou au performeur. L’histoire joué est celle d’un humain qui cherche à délié son être des noeuds involontaire et finalement ne garder que ceux essentiel à soi.
L’interaction avec les pièces de l’installation permet une construction-destruction amenant le renouveau, ou l’impermanence comme une des recherches.